Au Canada, des universitaires ont subi des agressions parce qu’ils et elles s’intéressaient aux questions d’identité sexuelle et de genre. D’autres qui travaillent sur le Proche-Orient sont accusé.e.s publiquement d’antisémitisme. Ces incidents soulèvent des inquiétudes dans les universités. Comment assurer un climat sécuritaire pour que les professeur.e.s puissent faire leurs recherches librement, sans être soumis.es à ce type de pressions sociales et politiques?