Au cours du 19e siècle, on souhaite isoler les individus pouvant déranger l’ordre civil tout en leur donnant un cadre favorable à la guérison. L’asile St-Jean-de-Dieu est ainsi fondé en 1874, à grande distance des quartiers résidentiels. Afin d’être autosuffisant, l’hôpital prend des airs de petit village, bien qu’en réalité, il s’agisse d’un lieu d’enfermement géré par des religieux. Dans les années 20, des infirmières laïques et des médecins entrent à l’hôpital.